intencity café, le blog d'intencity

intencity café , 18 octobre 2024

Intencity café le 17 Octobre 2024, 18h : Pourquoi faire un budget et comment ?

programme de discussion en cours d’élaboration : Pourquoi faire un budget et comment ? Le timing du budget Envisager, Prévoir et suivre,  pourquoi ? La Construction d’un budget Les recettes, les dépenses, les investissements Les différents types de dépenses La relation et la cohérence entre les objectifs et les moyens La hiéarchisation des objectifs La saisonnalité des dépenses et des produits Le suivi d’un budget Construire des grandes catégories de recettes et de dépenses Séparer des activités ? Repérer les erreurs budgétaires Repérer les erreurs de suivi Repérer les écarts de réalisation La saisie comptable adaptée au suivi budgétaire le rapprochement comptabilité générale et comptabilité analytique Ça peut faire peur comme ça mais ça fait beaucoup moins peur quand on en discute 🙂 Chez Nelson, 127 avenue Anatole France, 94600 Choisy-le-Roi le jeudi 17 octobre 2024 à 18h ou via Zoom en suivant ce lien d’inscription        

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Qui sommes nous ?

Intencity crée et gère des incubateurs d’entreprises, forme des chefs d’entreprise et celles et ceux qui souhaitent le devenir. Nous aidons ainsi depuis 18 ans les jeunes entreprises à démarrer puis à se développer dans les meilleures conditions. Concrètement, ce que nous proposons dans les incubateurs Intencity: des conditions d’hébergement relativement spécifiques adaptées pour des entreprises qui démarrent. Celles-ci ont en général moins de moyens, de matériel, et sont plus fragiles que des entreprises établies depuis plusieurs années. d’autre part des programmes pour accompagner et former centrés sur la création et le développement de jeunes entreprises   Mais ce qui fait intencity, au delà de la fourniture de services aux entreprises, c’est le rôle de creuset d’expériences en brassant des profils d’entrepreneurs et de salariés divers, sans sélection sur dossier, et sans spécialisation sectorielle. Dans un grand nombre d’occasions c’est cette diversité qui facilite les échanges entre les entreprises et contribue ainsi au développement de leurs compétences. L’ « affectio societatis » qui se retrouve sur notre logo désigne justement cette envie de s’associer de façon informelle pour travailler ensemble dans un esprit d’ouverture, de partage et de respect. Au delà des intérêts business de chacun, c’est le principe qui nourrit au jour le jour notre façon de travailler et qui fait l’intérêt de notre travail comme la condition d’un séjour fructueux chez nous.  

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Maîtriser ses coûts d’énergie avant les aides.

Comme toutes les petites boîtes, nous regardons avec attention ce qui se passe autour des dispositifs de maîtrise, plafonnement ou remboursement des factures d’énergie. Pour une entreprise de moins de 10 personnes , faisant moins de 2 millions de chiffre d’affaires / an les dispositifs qui nous ont semblé les plus intéressants sont :– l’amortisseur électrique , qui vient de sortir et qui propose une sorte de plafonnement du prix du KWH d’électricité– le guichet d’aide au paiement des factures d’énergie, plus complexe, et qui fonctionne par périodes de deux mois en comparant l’évolution des factures d’une année sur l’autre pour les même périodes. Mais, dans l’incertitude de notre éligibilité et de l’impact chiffré qu’auraient ses mesures, il nous a semblé également important de réfléchir à la façon dont nous pourrions, avant toute application de dispositifs d’aide, réduire nos factures. Et c’est que que nous avons fait des novembre. Nos actions sur les prix de l’énergie payée : -Nous n’avons pas changé de fournisseur, nous disant que la période était agitée. Tous les prix étant à la hausse, l’écart d’un fournisseur à l’autre serait sans doute marginal. Cela reste bien sûr à vérifier, mais sommes partis là dessus.-Nous avons en revanche raisonné pour l’électricité sur les tarifs en heures pleines et heures creuses. Nous avons prix la décision contre intuitive de chauffer les bâtiments la nuit et d’utiliser l’inertie du bâtiment pour couper le chauffage journée et voir comment cela se passait. S’il est un peu tôt pour en tirer des conclusions définitives, les premiers résultats semblent prometteurs pour deux raisons :– l’effet prix heures creuses vs heures pleines– l’effet comportemental induit (on fait du nudge sans le savoir !!!) : nos clients occupent des ateliers chauffés la nuit et sortent parfois dans des parties communes non chauffées : Ils comprennent rapidement qu’ils disposent d’un capital chaleur pour la journée et qu’ils ont tout intérêt à en prendre soin. On a donc beaucoup moins de portes laissées ouvertes qu’avant. Ce changement de comportement induit mécaniquement une baisse des volumes consommés. Nos actions sur les volumes d’énergie consommée Ceci vaut surtout pour le Gaz. Ici pas d’heures pleines ou creuses. Nous avons donc raisonné simplement en volume : pas de chauffage la nuit ou le dimanche. A l’aide d’un programmateur sur la prise électrique, acheté 15 euros au BHV, la chaudière est coupée toutes les nuits. Elle se remet en route une heure à deux heures avant l’arrivée des premiers clients. Effet réchauffement compris car les derniers mois de l’année n’ont pas été très froids, nous arrivons à diviser les volumes consommés par 2,5. Au delà des réductions sur les factures d’énergie, nous aidons aussi les petites entreprises dans leur gestion et leur développement au quotidien. Avec des propositions d’actions très concrètes. Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à nous contacter ici ! Nous vous répondrons avec plaisir.  

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managers not MBA

Pourquoi et dans quel état d’esprit se former pour entreprendre ?

L’engouement autour du CPF nous amène à recevoir un certain nombre de demandes d’information autour de la formation des entrepreneurs et notamment des auto-entrepreneurs. Tant mieux pour nous ! mais nous constatons que les candidats aux formations ne savent pas toujours très bien ce qu’ils attendent de celles-ci. D’où cette réflexion que je vous partage… Le CPF fonctionnant sur le principe du tiers payant et le catalogue étant extrêmement varié, la demande d’information tient parfois plus de la visite aux différents rayons d’un supermarché qu’à un besoin clairement motivé, exprimé et pour lequel le client potentiel aurait murement pesé le bénéfice qu’il pourrait en attendre. C’est donc autour de la notion de bénéfice d’une formation pour entreprendre que je voudrais m’attarder. C’est une expérience personnelle qui m’a inspiré et elle ne se situe pas du tout dans le champ de la formation à l’entrepreneuriat mais dans celui des formations musicales en particulier dans le jazz. On trouve en effet pléthore de formations en ligne ou pas pour les musiciens amateurs. J’en ai testées pas mal. Le contenu est en général de bonne qualité, parfois brillant. Apres quelques années d’expérimentation la question pour moi est: – pour quel résultat ? – me suis-je vraiment amélioré ? – est ce que je joue mieux ?, est-ce que je pratique plus, est ce que j’ai plus de plaisir à jouer… Avant de vous donner mon analyse, je trouve que l’on peut ranger ces formations sous deux catégories :– celles qui se concentrent sur l’acquisition de connaissances ou d’outils théoriques– celles qui se concentrent sur la pratique et sur la méthode de la pratique et le pourquoi de la pratique et en fin de compte sur la motivation qui va générer une pratique régulière, organisée, pertinente et opérationnelle. Après quelques années d’expérimentation sur ces différentes formations, j’ai fait mon choix : je penche clairement pour celles qui s’intéressent à la mise en pratique de connaissances, à l’acquisition de la familiarité avec les outils et les concepts et au delà de la compréhension et de la capacité à analyser, au développement de la capacité à sentir et internaliser. Mais des que l’on parle de pratique on parle de motivation car lorsque l’on souhaite faire de la musique il faut travailler. Travailler le plus efficacement possible et dans des directions précises sous peine de se disperser sans résultat. Apres 15 ans d’accompagnement d’ entrepreneurs et quelques années de formation d’entrepreneurs je fais un peu le même constat : ce que l’on peut apporter de mieux dans une formation c’est le passage à la pratique ( au travail d’entrepreneur) , l’aide à l’organisation de ce travail, la clarification des objectifs qui va contribuer à la motivation et donc au travail de l’entrepreneur…et c’est un peu ce que j’avais aussi retenu d’une lecture ancienne du livre de Henry Mintzberg « Managers Not MBA ». Le diplôme est secondaire par rapport à la pratique. Il me semble que c’est cette mise en pratique ou mise au travail ou mise en rythme qui est au final vraiment intéressante dans des formations individuelles telles que nous les proposons. Et c’est ce qui va surtout faire la différence entre un accompagnement et une formation de groupe ou en ligne : l’approche individuelle, différenciée va s’intéresser à la pertinence du travail à faire sur chaque projet, sur chaque cas individuel et mettre en oeuvre et accompagner une stratégie de travail pour chaque entrepreneur. Car que retirent en fin de compte les entrepreneurs ou porteurs de projet qui se forment avec nous ? et sous quelles conditions profitent ils vraiment de ces formations ? De notre expérience je déduis plusieurs type de bénéfices : la dynamique de travail : l’acquisition d’un certain rythme de travail , ce qui n’est pas toujours évident lorsque l’on est seul la priorisation du travail : ne pas se disperser, décider des sujets sur lesquels il est urgent / important de porter son effort la prise de recul, la prise de distance, la discussion contradictoire qui enrichit le projet, le sécurise la fin de la solitude… le gain en confiance, essentiellement par le dialogue La condition minimale pour bénéficier vraiment de ces formations est, il me semble, de les considérer vraiment comme un investissement, même si le système du tiers payant fait que le coût financier de celles-ci n’est le plus souvent supporté qu’indirectement par le bénéficiaire, l’investissement en temps personnel doit être significatif. En gros , il faut vouloir se mettre à une pratique, ou vouloir faire évoluer sa pratique actuelle d’entrepreneur et pas seulement recevoir un savoir théorique ou même recevoir des conseils très avisés. C’est cette pratique, ce travail, cette façon de travailler qui serviront sur le moyen long terme le projet de l’entrepreneur. Et la formation peut vraiment contribuer à faire évoluer cette pratique , au bénéfice

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Back to school

faire une étude de marché simplement

une fois le marché défini (voir l’article « comment définir un marché » à venir) c’est à dire le groupe d’usages que l’on veut servir cadré, on va pouvoir faire la véritable étude de marché qui pourra être de nature qualitative et/ou quantitative. L’idée de cet article est de proposer quelques pistes simples pour faire cette étude de marché. Que va-t-on rechercher et comment ? On va chercher deux choses distinctes :– approfondir les positionnements possibles pour vous sur ce marché et l’intérêt ou pas de ceux-ci (partie qualitative).– essayer de chiffrer les enjeux sur un positionnement donné (partie quantitative). La partie qualitative de l’étude de marché va servir à approfondir la pertinence ou pas d’un besoin pressenti par vous. Vous avez pensé à une caractéristique produit particulière, couvre-t-elle vraiment un besoin ? le prix proposé correspond-t-il à la valorisation par le client de ce besoin ?Un de nos clients a par exemple développé une boisson, sous bouteille verre avec une consigne. Quelle besoin veut-t-il servir exactement avec cette caractéristique produit et comment cette caractéristique produit est elle perçue par des clients ? ou des acheteurs potentiels ? ou encore des distributeurs ? Ce trait produit amène-t-il de la valeur au produit ? et si oui laquelle, ou génère-t-il plutôt des contraintes ? Là, une étude qualitative va être très utile : On peut la mener en allant discuter avec des distributeurs, des clients potentiels (en les faisants réagir à la proposition produit) et des clients finaux qui ont déjà acheté en direct dans des salons par exemple.Avec les distributeurs on pourra discuter de leur ressenti en tant que distributeurs , des points forts et faibles de l’offre, de ce qu’ils aiment et de ce qu’ils aiment moins, du rôle de notre offre dans leur assortiment global…et aussi de ce qu’ils comprennent de la perception des clients finaux.Avec les clients on cherchera à comprendre ce qui les attire ou pas dans notre offre, comment ils l’utilisent, comment ils l’achètent, se réapprovisionnent, comment ils ont connus l’offre et où ? Cette étude qualitative peut-être menée en entretien direct en physique ou à distance mais aussi en contactant vos interlocuteurs par voie de mail. De nombreux outils type google formulaires vous aident dans cette démarche.Il nous semble préférable d’aller assez rapidement au coeur du sujet pour éviter de perdre des gens en route dans le formulaire ce qui arrive très souvent. La partie quantitative de l’étude de marché va de son coté servir à mettre des volumes ou des enjeux sur des besoins. Elle sera un input important dans le calcul d’un prévisionnel. Différents moyens d’avancer sur la partie quantitative de l’étude de marché L’idée pour avancer sur la partie quantitative est d’abord de bien cerner l’étendue du marché sur lequel on cherche à s’implanter. Pour implanter un magasin à Angers on n’aura pas forcement besoin d’avoir des données sur toute la France. Si on ne trouve pas de données sur Angers, il sera sans doute utile de procéder par analogies et comparaisons. Quelles sont les autres villes qui peuvent fournir un comparatif utile. De ce point de vue en terme de sources publiques, l’INSEE est une véritable mine d’or. Si la manipulation du site est parfois un peu cryptique, avec un peu de pratique on s’y retrouve vite. En terme d’analyse ou de quantification des besoins, on y trouve également beaucoup de choses. Un autre type de sources quasi publiques est constitué par les études des branches professionnelles. Quelle branche peut-elle vous fournir des informations, sur un produit particulier, un métier, une tendance… Ensuite la presse, professionnelle ou pas, en recoupant pas mal d’articles pour essayer de distinguer les phénomènes de bulles médiatiques des tendances de fond. Rechercher particulièrement des interviews d’acteurs du marché. Un autre type de données que nous utilisons quand celles-ci sont disponibles sont de type financiers. Quand des sociétés concurrentes sont cotées, on trouve dans les rapports financiers des informations qualitatives comme quantitatives sur les marchés et leur dynamique. Pour des sociétés non cotées qui nous intéressent la plupart du temps, on trouve des informations comptables dans societe.com. Combiner des données comptables et des données qualitatives (nombre de magasin et taille moyenne par exemple) est souvent intéressant. Pour des sociétés innovantes, il est intéressant de regarder les moyens financiers qu’elles arrivent à mobiliser via des levées de fond. Crunchbase est un bon endroit où commencer. Avec une connexion web, pas mal de curiosité, un peu de temps et de débrouillardise vous devriez vous en sortir ! Et si vous souhaitez approfondir, n’hésitez pas à jeter un oeil à nos formations courtes ici ! Elles sont individuelles et centrées sur votre projet et éligibles CPF !

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Intencity café est le blog d’intencity. Nous y partageons les actualités de nos incubateurs ou de nos formations, comme celles de nos clients ou encore quelques points de vue sur notre pratique du business et de la gestion en essayant d’être clair, sans jargon et accessible à tous. Si on peut faire sourire de temps en temps c’est bien aussi :-). Pour vous y inscrire, c’est ci-dessous !

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